Lettre ouverte à Madame Elisabeth BORNE, ministre de l’Éducation

Communiqué de presse – Instruction et vaccination – Lettre ouverte à Madame Elisabeth BORNE, ministre de l’Éducation

Réseau des Victimes d’Accidents Vaccinaux – REVAV

 

Neuilly Plaisance, le 28 février 2025,

 

Madame, Monsieur,

Nous vous prions de bien vouloir prendre connaissance de la lettre ouverte adressée à Madame Elisabeth BORNE, ministre de l’Éducation.

Cordialement.

 

Le 26 février 2025

Madame la ministre,

Fût-ce indirectement, la politique vaccinale française porte atteinte au droit à l’instruction.

En effet, l’accès à toute vie en collectivité et particulièrement à l’École est subordonné à toute une série de vaccinations, imposée par la loi (article L3111-2 du CSP) à la faveur d’un cavalier législatif dans le cadre du PLFSS 2018, et récemment élargie par décret du 5 juillet 2024 contre le méningocoque.

Au-delà du caractère contestable d’imposer ainsi des actes médicaux mal évalués et en s’affranchissant du consentement des enfants et de leurs parents, le contrôle du respect de cette règle revient en pratique à des agents administratifs, ou à des enseignants, en violation du secret médical, au risque de divulgations et de sanctions pénales.

Rares sont les pays, notamment de l’Union européenne, qui cultivent ce chantage à l’instruction ou à la vie en société et bien plus rares encore ceux qui le subordonnent à une aussi longue liste. Même si la panique Covid a donné lieu, ici ou là, à quelques exceptions, vite abandonnées

Ce fut le cas dans quelques universités des Etats-Unis d’Amérique par exemple : dans un esprit plus libéral, le Président Trump refuse de financer désormais les universités qui subordonneraient leur fréquentation à la vaccination contre la Covid.

Votre administration devrait s’inspirer au plus tôt de cet exemple, pour se libérer d’une implication sanitaire contestable.

D’autant que, à l’issue de la Concertation sur la vaccination qu’il dirigeait en 2016, le Professeur Fischer tout en préconisant de nouvelles obligations vaccinales pour les enfants, assortissait cette mesure d’un caractère temporaire : « LA LEVEE DE L’OBLIGATION VACCINALE EST L’OBJECTIF à atteindre. Néanmoins […], le comité préconise un élargissement temporaire du caractère obligatoire des vaccins recommandés de l’enfant, assorti d’une clause d’exemption et de leur gratuité ». Le PLFSS 2018 qui s’inspirait de cette conclusion pour imposer subrepticement 11 vaccinations aux enfants, en fit un chantage et omit toute clause d’exemption comme de fixer un terme à cette obligation déjà contestable…

Ainsi, et suivant l’avis du CCNE (Comité Consultatif National d’Éthique), il est temps, huit ans plus tard, de rétablir et respecter la liberté de choix des Français en matière de vaccination, déjà des enfants.

Pour nous en tenir au domaine de l’enseignement, il serait donc sage d’interdire d’ores et déjà aux personnels relevant de votre autorité, l’accès aux carnets de vaccinations ou autres certificats équivalents.

Ceci avant la suspension (par décret), puis l’abolition (par la loi) des articles L3111-2, L3111-6 du Code de la Santé publique.

S’il en était besoin, l’exemple des pays occidentaux adeptes historiques du libre choix vaccinal (notamment Allemagne, Suède, Pays-Bas, Espagne… soit 22 États sur les 27 de l’UE, auxquels s’ajoutent Royaume-Uni, Suisse, etc.) montre qu’il n’y a pas de risque épidémiologique à respecter la liberté de chacun à gérer sa santé.

La prochaine révision raisonnée d’une politique vaccinale, plus traditionnelle qu’efficace, sera l’honneur de votre action ministérielle et traduira un véritable changement responsable.

Nous vous prions d’agréer, Madame la ministre, nos sincères salutations.

Jean-Pierre Auffret- REVAV

Guillaume Ageorges

Président du REVAV

(Voir l’article d’origine en cliquant sur ce lien).

Mise en examen du médecin impliqué suite au décès de l’adolescent vacciné contre le papillomavirus à Saint-Herblain, en octobre 2023

Communiqué de presse, Nantes, le 13/03/2025

Réseau des Victimes d’Accidents Vaccinaux – REVAV

Mise en examen du médecin libéral pour homicide involontaire, suite au décès de l’adolescent vacciné contre le papillomavirus – Octobre 2023 à Saint-Herblain (44)

Cette fois ci, quelles réponses du ministère de la santé, des ARS, de l’ordre des médecins, de l’Éducation Nationale ?

Les collectifs citoyens, soignants, particuliers et associations qui s’étaient mobilisés en 2023, et qui militent toujours pour l’arrêt définitif de toute vaccination de masse, accueillent avec intérêt cette dernière décision de justice du mercredi 05/03/2025. Un médecin est mis en examen pour homicide involontaire, à Nantes (Loire- Atlantique), dans l’affaire du collégien de 12 ans décédé en 2023, après un malaise puis une chute des suites d’une vaccination contre le papillomavirus. Le juge d’instruction chargé de l’affaire « a estimé que la faute médicale commise caractérisait cette infraction », a indiqué le même jour, le procureur de la République de Nantes, Antoine Leroy.

A l’époque de l’accident mortel du collégien, survenu le 19 octobre 2023, les collectifs et les associations dont l’Union pour la prévention et la gestion des crises sanitaires (UPGCS), le réseau des victimes d’accidents vaccinaux (REVAV), la ligue nationale pour la liberté des vaccinations (LNPLV), avaient relevé beaucoup d’incohérences et incompétences et engagé un référé devant le tribunal administratif de Nantes, demandant la suspension immédiate de la campagne de vaccination, afin de préserver la sécurité physique des collégiens.

L’enseignement catholique avait d’ailleurs fait suspendre, le 26 octobre, cette campagne vaccinale au niveau national dans tous ses établissements, contrairement à l’éducation nationale qui après une suspension de 2 semaines, pendant les vacances scolaires de la Toussaint, l’avait reprise au 6 novembre 2023. Pour autant, la juge des référés de Nantes avait estimé, sur ordonnance rendue le 22 novembre 2023, qu’en dépit du décès du collégien, aucune urgence ne justifiait la suspension de la campagne de vaccination. Le juge des référés de Versailles a rendu une ordonnance similaire, le 31 mai 2024.

De son côté, l’ARS avait diligenté une enquête administrative après le décès du collégien, ouverte fin octobre et clôturée en novembre 2023. L’enquête, qui a duré moins d’un mois, n’a relevé aucun « dysfonctionnement sur l’organisation de la campagne de vaccination » ; quinze mois plus tard, avec une enquête minutieuse, il semble que le parquet de Nantes ait obtenu davantage d’informations pour conclure à une faute médicale ; dès lors les décision prises par les juges des référés sont-elles à questionner ?

L’association E3M (Association d’entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages) avait, quant à elle, interpellé le ministre de la Santé dès le 25 avril 2023 et saisi le Conseil d’Etat, dès le 3 juillet 2023, soit avant le lancement de la campagne de vaccination et avant le drame survenu à Nantes, en vue d’obtenir un moratoire sur la campagne de vaccination. L’association mettait notamment en avant ses inquiétudes quant à l’adjuvant aluminique contenu dans le vaccin et à la présence de fragments d’ADN du virus HPV, non répertorié sur la notice. Ils ont lancé l’alerte mais ni le ministère de la santé ni le conseil d’état ne les ont écoutés !

MAINTENANT, vont-ils reconsidérer la question ?

Avec la décision importante du parquet de Nantes, et constatant à nouveau le silence de l’ARS pays de la Loire, et compte tenu de l’engagement du ministre de la Santé de l’époque Mr Aurélien Rousseau « tout sera évidemment examiné et rendu public », les collectifs, associations, parents et citoyens attendent que toute la lumière soit faite sur l’ensemble des dysfonctionnements des institutions et organismes décisionnaires pour que la vaccination de masse soit interdite au sein de tous établissements scolaires de la métropole et des outres mers en raison des conditions inadaptées pour la santé et sécurité des enfants et adolescents.

Avec la participation des Collectifs UNIS, dont Collectif santé 44, Collectif santé saint Nazaire, Collectif santé mauges, Collectif défense des professionnels 49, Unis 85, Collectif liberté72, unis13, Collectif info SANTÉ, le REVAV, la LNPLV …

Mail : collectifsunis.stop0508@gmail.com

CONTACT, RÉF. Nantes : Christelle (07 83 85 04 67)

(Voir l’article d’origine en cliquant sur ce lien).